Cette belle citation se trouve à l’entrée du collège Sasserno, dans le centre-ville de Nice. Tirée du talmud, elle rappelle que le directeur de cet établissement accueillit un dortoir entier d’enfants juifs pendant la seconde guerre mondiale.
Elle nous amène aussi à réfléchir sur notre propre sens du sacrifice. Serions-nous prêts à prendre des risques pour sauver des innocents ?
Dans le livre de l’Exode, après que le peuple d’Israël se soit fabriqué un veau en or, Moïse intercéda auprès de Dieu en disant :
« Pardonne maintenant leur péché ! Ou sinon, efface-moi de ton livre que tu as écrit ». (Exode 32 :31-32).
Mais Dieu refusa son sacrifice, car Moïse ne pouvait se substituer à ses semblables. De toute éternité, l’Eternel avait prévu un autre moyen pour délivrer tous les hommes de la mort :
« A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu’un peut-être mourrait pour un homme de bien. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous ». Romains 5 :7-8
Le sacrifice de Jésus sur la croix témoigne du profond amour de Dieu envers ses créatures. Car Christ n’est mort pour des justes ou des innocents, mais bien pour des pécheurs.
« Dieu a voulu par Jésus-Christ réconcilier tout avec Lui-même (…), en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. » Col 1:20
Seul le sacrifice de Jésus-Christ peut nous permettre de faire véritablement la paix avec Dieu. Avez-vous franchi ce pas ?